Anderlecht confirme sa montée en puissance ! Trois jours après leur victoire à la Real Sociedad en Europa League, les joueurs de David Hubert se sont offert le Clasico dans un contexte particulier, en l’absence des supporters adverses, sur le score de 3-0 face à un Standard qui a une nouvelle fois laissé un sentiment d’impuissance sur le plan offensif.
Sous les yeux de Zeno Debast et de Romelu Lukaku, tous les deux présents en tribunes, les Mauves lançaient idéalement leur rencontre avec l’ouverture du score de Jan-Carlo Simic sur un corner botté en deux temps, juste avant la 10e minute de jeu. Longtemps invisibles, les Rouches commençaient enfin à se montrer dangereux après la 25 e minute de jeu et à équilibrer les débats… juste avant que Kasper Dolberg ne les sanctionne en faisant le break d’une frappe lointaine sur laquelle Matthieu Epolo n’était pas exempt de tout reproche (30e).
Les Mauves quasiment pas inquiétés
En deuxième période, Verschaeren, à la retombée d’une frappe de Dolberg repoussée par Epolo, pensait plier définitivement la rencontre peu après l’heure de jeu, mais son but était finalement annulé par le VAR en raison d’une position de hors-jeu de l’attaquant danois au début de l’action. Mais ce n’était que partie remise : jamais réellement inquiétés, les Mauves inscrivaient finalement le 3-0, des pieds d’Anders Dreyer, monté au jeu quelques minutes plus tôt.
Cette victoire importante permet à Anderlecht de reprendre sa marche en avant en Pro League, après cinq matches sans victoire. Du côté du Standard, ce deuxième revers de rang vient confirmer encore un petit peu plus les inquiétudes concernant le jeu offensif des Rouches, tout simplement incapables de créer du jeu et d’apporter du danger sur la cage adverse.